Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Jr di Casa - Page 47

  • 2- Tenture CCFD

     

    IMG_0595.JPGIMG_0596.JPGart sacré, ccfd, carême,peinture, art

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'été arrive c'est la période des grands travaux ! Un format anachronique  2mX1,5m c'est pas du standard. Vive le sur mesure en été avant fermeture des usines de Picardie, de Paris....IMG_0599.JPGLe chemin est long mais le plaisir immense !

    IMG_0594.JPG

  • 1_Tenture carême 2016 : croquis

     

     Depuis 2014,  le CCFD propose une tenture  de  1,5m/2 m vendue et  exposée temporairement dans les églises. J'ai été sélectionné cette année. Le thème à traiter  : UN CHEMIN DE RENCONTRES  AVEC SOI, avec les autres, AVEC DIEU.   Un histoire a suivre sur ce BLOG

     

    art sacré, ccfd, carême,peinture, art

  • 11 septembre parisien ?

    turner, peinture, art

    Le dessin satirique pour être une réussite  doit être perçu comme un choc,  un coup de poing. On rit, puis on rit de notre rire et on n'est pas très bien d'avoir ri , disait je crois un dessinateur de Charlie. C'est un art difficile et dangereux. Mais delà à provoquer la mort ! C'est de l'ordre de l'impensable ! C'est Rabelais que l'on assassine.

    L'humour se déploie dans les dictatures. J'ai appris dans la manifestation d'hier de la part d'une marocaine que sous Hassan II, Hara kiri était passé sous le manteau.

    C'était dépasser un interdit de lire cela !

    Dans une démocratie, on n'avait pas oublié l'humour qui joue souvent également avec nos peurs mais on n'avait oublié que c'était dangereux. On oublie beaucoup en démocratie !

    Dans la peinture on joue avec avec la provocation. Il y a encore des interdits. On croyait que le dernier interdit c'était l'argent et le must faire de l'argent avec la critique de l'argent,  mais non il y a pire !

    Avec cette toile, 11 septembre réalisé un an après l'effondrement des tours. J'avais tenté de traduire non pas l'émotion, la matière des médias, mais les traces dans mon imaginaire, la chute d'un monde qui est plus fragile qu'il ne croit pour toucher avec des couleurs qui me sont étrangères et des verticales.

    C'est pour moi également une étrange référence aux encres tragiques de Victor Hugo mais avec des raclures de peinture à l'huile. Il reste tout à faire !