Créer sur la paix, c’est donner une sensation de fragilité. C’est peindre un dépassement de la violence permanente de l’Homme, comme critique du monde.
C’est proposer une espérance, un chemin de paix éternel, « hors sol ». Pour donner corps à ce concept, j’ai dû sortir du cadre et proposer une installation, en équilibre au-dessus du sol.
Notre modernité a induit une terre opprimée et dévastée qui gémit » (Laudato Si). Mais la nature peut reprendre le dessus. La ville, enfante des Hommes qui dansent sur une nouvelle musique et enterrent les symboles de la guerre