Après mon expérience de pochade l'année dernière dans le Lubéron, j'ai cherché a renouveler l'expérience.

La pochade s'est une très ancienne méthode de peinture rapide en extérieur. Cela a été renouvelé par john Constable qui a refusé la taille carte postale pour passer sur des toiles d'un mètre retravailler en atelier.

J'a découvert qu'Olivier Debré a travaille sur de l'abstrait à l'extérieur.

Ma première expérience l'année dernière a été un pur plaisir. Renouveler l'opération auprès de la Durance a été impossible tant l'eau était terne, brunâtre avec son lot d'ordures. Les berges n'étaient pas fleuris, personne dans l'eau. La magie avait disparu. J'ai découvert un autre lieu une rivière vive prés de Buoux. J'ai réalise 3 toiles sur une rive étroite. Une vue à quelques centimètres de l'eau, Buoux 2.

Vous êtes sur la région cette été, venez découvrir les toiles de jr dicasa une série 80x80 de retour du Lubéron.  De la fraicheur Enfin !

Peindre la fragilité, c’est pour moi apporter une vision  critique de notre modernité. J’ai tenté de peindre à l’extérieur le pouvoir illimité de la technologie, la volonté de modeler la nature, mais également l’existence de catastrophes possibles, des tours/mâts prêt(e)s à tomber.  C’est aussi l’envie d’être ensemble pour sortir de la solitude des villes et cette impression d’écrasement  pour aller de l’autre côté du miroir.