Peindre la fragilité, c’est pour moi apporter une vision critique de notre modernité. J’ai tenté de peindre à l’extérieur le pouvoir illimité de la technologie, la volonté de modeler la nature, mais également l’existence de catastrophes possibles, des tours/mâts prêt(e)s à tomber. C’est aussi l’envie d’être ensemble pour sortir de la solitude des villes et cette impression d’écrasement pour aller de l’autre côté du miroir.